Témoignages

 

« Tout a commencé en 1992 alors que je préparais un brevet d’état d’éducateur sportif. J’avais 38 ans. Je n’avais surtout pas le temps d’être malade et avec la complaisance d’un docteur je soignais successivement angines, bronchites, pneumonie, phlegmons dans la même année à grand renfort d’antibiotiques. Un matin, je n’ai pas pu me lever. Affolée, j’appelle le docteur qui, avant l’hospitalisation, me soumet à un bilan sanguin complet. Diagnostic : polyarthrite rhumatoïde évolutive (PCE), Latex – Waler Rose +, Créatine C+…

Pour me rassurer, mon docteur m’annonce sans ménagement « ma petite dame, je vous envoie chez un rhumatologue pour un traitement à base de cortisone, c’est trop grave, dans deux ans vous êtes en fauteuil roulant !!! ». Je vous laisse imaginer mon désarroi et ma peur.

A ce moment-là, j’ai eu un déclic. Je me suis souvenue d’un livre dans ma bibliothèque qui traitait de la PCE, Sauvez votre corps que j’ai avalé en une journée. Le soir même, j’appelais la Fondation en expliquant à Josiane M…. en pleurant ma situation. Celle-ci me donnait les coordonnées du médecin Kousminien le plus proche, le Dr B, à …250 km. Au premier contact téléphonique RV dix jours plus tard pour une consultation de 2 h 30. Je me souviens d’avoir promis au Dr B. de faire le marathon de New-York avant d’être paralysée. Il a dit à mon mari « Elle s’en sortira ».

J’ai suivi à la lettre les conseils et le traitement KOUSMINE durant deux ans en y rajoutant les huiles essentielles, du sport pratiqué de manière intensive selon les saisons avant de revoir mes analyses devenir normales.

Cela fait maintenant 10 ans et avec le recul je dis souvent aujourd’hui « J’ai eu la chance de tomber malade » et de tomber entre les mains du Dr B….
A l’approche de mes 50 ans j’aime me lancer des défis, autant de pieds de nez à la médecine allopathique ; je rentre du Rallye Aïcha des Gazelles où j’ai parcouru 2 500 km dans le désert marocain, Paris-Dakar féminin, 24ème sur 50 équipages. Je me prépare pour réaliser « Chicago – Los-Angelès » à vélo – juillet Août 2003 – 3 200 km sur la mythique « Route 66″. Et je me suis promis un marathon l’année de mes 50 ans en 2004.
Je tiens par ce témoignage à donner l’espoir à toute personne frappée par la maladie quelle qu’elle soit. La volonté et le courage font des miracles ainsi que la méthode KOUSMINE. Il faut y croire… La vie est belle et mérite vraiment d’être vécue ! ! ! ! »

Mai 2002. Martine TEMPIER, guide de pays – (Défi Danube 2006)

« Ah, ce passage à l’an 2000.
Novembre 1999, lors d’un bilan complet dans un hôpital situé au nord de Paris, une erreur médicale interne pendant l’examen de coloscopie a failli me faire perdre la vie.

Après plusieurs semaines de soins intensifs et de combat pour retrouver une vie normale, le professeur du service m’indiquait : “ Monsieur, pour nous vous êtes sorti d’affaire, certes vous n’allez pas bien, mais l’orage est passé, il ne sert à rien que l’on vous garde plus longtemps. “ Je sortis donc de l’hôpital, plus le temps passait et plus mon état s’aggravait. Lors d’une visite à l’hôpital, ce centre hospitalier m’indiquait :
« Monsieur, on ne peut plus rien faire pour vous ». Eh voilà, comment on passe d’un statut de sportif de haut niveau à grabataire à 33 ans.

Février 2000, rien ne va plus, devant l’urgence de la situation ma femme me conduisit chez une personne pratiquant les médecines naturelles. Lors de notre entretien ce praticien m’indiquait que j’étais un défi, mais qu’il le relevait !–

Outre, un traitement homéopathique, le fond du traitement était la méthode Kousmine. Il me fit arrêter progressivement les médicaments et, près d’un mois après, je commençais à reprendre des forces, mon teint blanc (qui aurait fait pâlir plus d’une lessive) s’estompait gentiment, l’hôpital n’y comprenait rien, mais j’allais mieux. Il m’a fallu 3 ans, pour reprendre une vie normale, ce fut le plus long et dur match que j’aie eu à vivre…

Depuis notre vie a changé, nous avons adopté complètement la méthode Kousmine, ma femme et mes enfants sont métamorphosés, nous ne voyons plus le médecin, qu’à titre amical.

Octobre 2003, grâce au bulletin de la Fondation, nous avons participé au cours d’alimentation santé Kousmine à Gordes, 3 jours enchanteurs dans un cadre sympa. Ce stage nous a permis d’acquérir une plus grande pratique sur la méthode, une connaissance plus pointue sur les règles d’hygiène alimentaire, d’effectuer plusieurs réglages sur notre façon de vivre. Nous avons pu constater qu’après 3 jours seulement, certains stagiaires passaient du blanc très prononcé à une mine superbe et une joie de vivre retrouvée, ce n’est pas Edouard qui me contredira, au plus grand plaisir de Denise.

De retour à la maison, ma femme et moi décidions de mettre en pratique ces cours. Un mois après nous constatons plusieurs signes bienfaiteurs : nos enfants sont calmes, ils ont une mine éblouissante, nous sommes infatigables au travail et en pleine forme.

Autre fait beaucoup plus probant, maman du haut de ses 72 printemps, devant notre enthousiasme, a voulu d’elle-même essayer la méthode. Son seul regret, c’est de ne pas l’avoir fait plus tôt. En effet, sa propre sœur de dix ans sa cadette ne l’a pas reconnue, et est à son tour convaincue que l’alimentation joue un rôle essentiel sur la santé.

Nous tenons à remercier et féliciter Suzanne, Brigitte, Danièle et Marie-Claude, les organisatrices de ce stage. Merci non seulement de nous avoir tant appris, mais aussi de nous prouver que dans ce monde plus qu’incertain il existe encore des gens qui donnent le meilleur d’eux-mêmes gratuitement pour le bien être des autres.

Mesdames bravo et encore Merci, à bientôt… »

Nathalie et Denis

« À tous,
Je me présente : kinési, ayant par la maladie (S.E.P.) dû laisser mon cabinet, car dans l’incapacité de le tenir à l’époque.

En effet, en 1987, j’ai présenté une somme de symptômes (asthénie, anorexie, perte pondérale, troubles de l’équilibre, de la vue…).

Dès lors, examens sur examens, sans pouvoir établir un diagnostic précis. Il faut dire que certains médecins, vu la gravité de celui-ci, le donnent difficilement, y compris les amis.

Puis, en 1989, j’ai fait une crise d’épilepsie (grand mal) qui m’a valu l’entrée en urgence à l’Hôpital cantonal de GENEVE. Suite à celle-ci, et après résonance magnétique nucléaire, prouvant une zone démyélinisée dans le cerveau, expliquant secondairement l’épilepsie, on a conclu à une S.E.P. Depuis, je suis bien évidemment pensionné avec une carte d’A.H.H. à 80%.

Verdict lourd, mais à mon avis, il est bon de le connaître, de l’accepter, pour mieux combattre la maladie, quelle qu’elle soit. Bien sûr, j’ai commencé par la médecine lourde : cortisone. Je fus bien entouré par un monde médical classique.<

Heureusement, j’ai eu la chance d’étudier pendant plusieurs années des médecines énergétiques (acupuncture…), et donc d’être guidé vers des solutions parallèles. D’autant plus que, pour le moment, la médecine cherche, mais n’a pas trouvé encore de traitement valable dans plusieurs domaines, et notamment la S.E.P.

Alors, pourquoi ne pas voir ailleurs, car il y a souvent des résultats, et de plus aucun médicament iatrogène. Personnellement, je dois mon renouveau à un ensemble de facteurs liés les uns aux autres :

  • sur le plan physique : je suis un adepte endurci depuis Juillet 1989 de la Méthode KOUSMINE. Bien entendu, je suis suivi médicalement par un disciple de Mme KOUSMINE. Hygiène alimentaire et vie stricte. La suivre à 100%.
    Je vais voir (surtout aux changements de saisons) par moi-même un médecin acupuncteur homéopathe. Depuis, constantes améliorations, ce qui me fait douter parfois d’être malade !! J’étais …
  • sur le plan psychique : j’avais, avant la maladie, beaucoup de stress (vie de couple difficile – divorcé depuis – relation avec associé du cabinet désagréable, etc…) Les stress sont-ils d’ailleurs en partie responsables de la maladie ? On peut le supposer.

Depuis, je vis donc seul, travaille petitement à domicile, toujours en kinésithérapie. C’est pourquoi l’entourage est très important. Il peut être inconsciemment destructif; ce qui a été pour moi le cas, et dans ce dernier, il vaut mieux, selon le vieil adage, être seul que mal accompagné. Maintenant, j’ai une véritable qualité d’environnement, de bons amis avec qui je partage des moments agréables, ceux-ci contribuant à ma renaissance.

[…]

Pour trouver la voie de la guérison, cela est difficile à admettre, mais je le ressens ainsi, il ne faut jamais désespérer, car la maladie est une rude épreuve pour vous faire progresser, à partir du moment où nous ne la prenons pas à rebrousse-poil.

Quels chemins j’ai parcourus depuis 1989 !! Physiquement, certes, mais surtout psychiquement. La vie s’avère autre; l’échelle des valeurs fondamentales complètement changée : amour grandissant et chute de la vie matérielle, la présence de cette dernière étant, somme toute, obligatoire sur terre.

[…]

Puisse cette lettre aider le plus grand nombre, si telle est sa destinée. »

Richard P.

« Je vous serais reconnaissant de m’indiquer la ou les démarches à faire auprès de l’association du Docteur Catherine KOUSMINE afin d’établir une liaison avec cette association dans le but de développer la méthode KOUSMINE en Polynésie française.

Je ne suis pas médecin moi-même, malheureusement, ce qui aurait facilité les liens, mais je suis désireux de faire tout mon possible pour divulguer cette méthode ici, en Polynésie française, car je suis un heureux bénéficiaire de cette méthode que je connais depuis deux années et à laquelle je dois mon état de bonne santé actuelle, malgré mes 83 ans, problèmes cardiaques compris et aussi diabète sous insuline, que je maîtrise assez bien. (…) »

JC R.., Tahiti

« Après des années de « malbouffe » et une tendance à la boulimie sucrée (je suis pâtissier), je me suis fragilisé (intestin, foie, vésicule…) avec de violents maux de tête… Bref, après être tombé sur un livre du Dr KOUSMINE, j’ai décidé de prendre les choses en mains.
J’ai commencé par lire tous les livres traitant sa méthode et petit à petit j’ai vaincu ma boulimie. Aujourd’hui mes repas sont équilibrés (je prends soin de les noter ainsi que mon pH urinaire). Je me sens nettement mieux, physiquement et moralement. Je n’hésite pas à faire connaître dans mon entourage – à ceux qui le veulent bien – les principes KOUSMINE. (…) »

D. M. (73)

« Dès l’âge de 14 ans, j’ai travaillé dans la restauration pour apprendre le métier de cuisinier.
A partir de 35 ans, j’ai ressenti des douleurs lombaires et une fatigue générale. Je pensais, ainsi que le généraliste, que cela était lié au nombre d’heures effectuées, aux mouvements répétés, au piétinement. J’ai réduit mon temps de travail, cependant douleurs et fatigue persistaient.

9 ans plus tard, à l’âge de 44 ans, j’ai consulté un neurologue qui, après examens complémentaires, a diagnostiqué une sclérose en plaques progressive.
J’ai donc été en arrêt maladie ; pendant cette période, je me reposais beaucoup. La pratique du vélo (j’avais l’habitude de faire 10 000 km/an) devenait de plus en plus difficile.

Malgré les conseils et le traitement du neurologue, je ne sentais aucune amélioration, j’était de plus en plus faible. Par l’intermédiaire d’une amie qui connaissait la Méthode KOUSMINE par des personnes qui la pratiquaient, j’ai lu des livres du Docteur KOUSMINE, et adhéré à l’association qui m’a transmis l’adresse du médecin à CLERMONT.

Première consultation en octobre 1995, régime alimentaire inclus. Je continue toujours le traitement du neurologue, je me sens de moins en moins fatigué et beaucoup moins de douleurs musculaires, surtout aux jambes. La pratique du sport devient plus facile, ainsi que certaines activités quotidiennes.

Mi décembre, deuxième consultation à CLERMONT ; le médecin me trouve mieux, il y a une amélioration.

Janvier 1996 : visite chez le neurologue, plus I.R.M. Résultat : maladie stabilisée. Reconnaissance du neurologue pour cette méthode.

Actuellement, 7 mois après le début de cette méthode, je me sens détendu, sans douleurs importantes. Ceci me permet de continuer à faire du sport, jardiner, bricoler régulièrement tout en respectant des temps de repos nécessaires à cet équilibre.

Je continue avec enthousiasme la Méthode du Dr KOUSMINE, grâce à laquelle je peux enfin espérer des jours meilleurs. »

Jean-Claude P.

« Je me suis mariée en 1986, j’avais 25 ans et mon mari 35; nous voulions 6 enfants.
En 1988, ne voyant pas de bébé arriver, nous sommes allés consulter mon gynécologue.
Après un bilan approfondi, il apparut que je souffrais d’anovulation (j’avais des règles presque inexistantes) et mon mari présentait une oligoasthénospermie sévère (avec de nombreuses anomalies sur les gamètes présents) : 1 million de spermatozoïdes par cc.
Cette nouvelle fut terrible, mais très unis, nous pensions « un seul spermatozoïde suffit ! »

En 1989, j’ai eu le bonheur de rencontrer une dame, Marina, qui me parla du docteur Kousmine et de sa méthode.
J’achetai très vite Soyez bien dans votre assiette et réformai notre alimentation. Je pris des suppléments d’huile d’onagre et de bourrache et fus vite interpellée par l’irrigation du côlon. Je fis 2 séances et l’été arriva.

En juin nous avions rendez-vous chez l’andrologue qui nous dit : « Adoptez, ça ira plus vite ! » Nous étions démoralisés, et commencions à envisager notre futur sans enfant… Nous nous sommes concentrés sur notre travail, vivant normalement et très solidaires dans la perspective des difficultés à venir, et nous partîmes en vacances au pays basque. Je ne vis pas grand chose de ce beau pays : sans cesse envie de dormir, je pensais alors être vraiment très fatiguée par mon activité d’infirmière libérale. Des nausées matinales firent leur apparition. Je pris mon courage à deux mains et achetai un test de grossesse à la pharmacie du coin.

Il était positif !!!!!! mais nous n’y croyions pas, tellement c’était impossible…

Je fis un dosage sanguin le lendemain, qui révéla ma grossesse. Je vous laisse imaginer notre joie !

A l’échographie, le gynécologue nous annonça que la grossesse remontait à juin 1989 : notre fils vint au monde en mars 1990…

Je suis aujourd’hui praticienne en irrigation du côlon (association Axiomes).

En espérant que ce témoignage puisse donner aux couples désespérés un peu d’espoir… tout est possible… Alors courage, ne perdez pas espoir, agissez vous-même pour votre santé. »

Catherine